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Lung Ta Zen
Lung Ta Zen
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4 octobre 2008

Exonération & pardon

(cliquer pour agrandir)

zem032

Toutes les BD de Zem sont regroupées sur son blog personnel

(avec traduction en Chinois par Hsin Ying de Buddhachannel.tv pour certaines)

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Commentaires
A
PS ah oui c'est vrai tu n'aimes pas quand je ne mets pas l'adresse de mon blog alors là je l'ai mise
A
Guillaume, c'est très subtil ce que tu soulignes là .. j'ai effectivement pu le constater souvent, ce qui a priori me semblait négatif s'est révélé au long terme extrêmement constructif... "on ne sait jamais rien des choses" comme se plaît à le répéter un de mes amis..:-)
G
Je me suis sans doute mal exprimé. Je parlais dans ma seconde partie de se pardonner à soi même les connerie qu'on a pu faire quand on en a conscience. Et ça me parait bien plus difficile encore que d pardonner à un abruti qui nous a fait du mal, aprce qu'après tout, ce n'était qu'un pauvre abruti, aussi intelligent soit-il. Et finalement, je finis toujours par avoir pitié, même si ça me révolte. Maispar contre, quand on a fait plein de conneries soi-même, et c'est mon cas, c'est pas évident du tout. Faut déjà être sur que c'était une onnerie. Parce que tu vois, il m'est arrivé de me reprocher des choses, qui, en analyse finale, ont eu des répercussion plus positives que négatives. C'es pour cela que je dis que c'est toujours plus ou moins dialectique : les conséquences à long terme sont difficilement mesurable. Et parfois au contraiure on crois bien faire et on fait une énorme bourde. <br /> Il faut savoir reconnaitre avec humilité que le cerveau humain n'apréhende pas spontanément le suprême bien et les multiples interraction des choses.<br /> Bien fraternellement
L
Oui on peut garder des séquelles physiques, comme on ne peut pas gommer le passé, comme le rappelle Ambre, mais même les blessures peuvent avoir un autre sens, crois moi !<br /> <br /> "L'autre" ne s'en fout certainement pas, sinon il n'aurait pas créé de violence, il a utilisé le seul moyen de "communication" qu'il pouvait à ce moment là. Là aussi je parle en connaissance de cause.<br /> <br /> le fait que l'autre demande le pardon, le fait qu'on lui accorde, n'est pas suffisant pour que le pardon soit "efficace", car cela ne peut être "mental" mais cela doit passer par les "tripes"<br /> <br /> On peut dire qu'on comprend ce qu'a vécu la personne qui a "agressé" mais cela ne gomme pas les actes.<br /> Quand à se pardonner à soi-même d'être "maltraité" ????? je ne comprends pas ?<br /> <br /> Il s'agit bien d'une conscience personnelle qui prend conscience de l'interdépendance de tout ce qui se passe (et s'est passé) qui fait que cela nous exonère de la colère (qui nous détruit) contre l'autre, mais l'autre porte la responsabilité des actes posés.<br /> <br /> Bien sûr que ce n'est pas évident du tout, c'est dialectique pour en parler (et c'est ce que nous faisons) mais cela ne peut être dialectique dans la réalisation, c'est à un autre niveau qui ne "dit" pas<br /> <br /> fraternellement
L
En effet on ne se débarasse pas du passé et en effet il peut par contre prendre un autre sens<br /> Tout le monde n'est pas égal, mais cela ne veut pas dire que cela n'est pas possible à tout un chacun<br /> <br /> je t'embrasse
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